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21 novembre 2010

Quand il pleut trop fortSur notre Italie du

Quand il pleut trop fort
Sur notre Italie du nord
Quand il fait novembre
Dans cette chambre
Où il faisait juillet
Quand on s'aimait si fort
Derrière les volets fermés
Qu'ils savaient dehors
Que l'on s'était aimé
Mais pourquoi j'y pense encore.

C'est vrai que j'ai toujours envie de te revoir
C'est vrai que toute ma vie s'arrête à notre histoire
Dans ma solitude, j'ai perdu l'habitude d'aimer
Oh c'est vrai que mes chansons parlent toujours de toi
C'est vrai qu'il est profond le vide autour de toi
Dans ma solitude, j'ai perdu l'habitude d'aimer

Je sais comment te dire
Ces matins désenchantés
Où j'ai peur d'écrire
Ce que je vais chanter
Peur de m'entendre mentir.
 

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19 novembre 2010

Tu me manques

16 novembre 2010

Les dangers de l'amour virtuel.

Besoin d une love story ?

Facile sur Internet , c est presque du bonheur intégral qui apparaît sur un écran .Il n y a pas si longtemps, il fallait errer dans les parcs ou les rues pour espérer qu’un homme pas trop moche vienne faire un brin de causette .Maintenant ce sont des dizaines d hommes avec qui une fille peut discuter .

Bien sûr, tomber amoureuse d un bel italien, étudiant en français à l université de Montréal quand on habite dans le limousin, question planning des rencontres, c est un peu limite .Mais si il n y avait que cela !!!!En admettant que vous ayez choisi un homme qui prétend résider à quelques km de chez vous , l amour virtuel réserve des surprises et pas nécessairement que des bonnes .

L 'un des pièges de la rencontre Internet est de tomber sur un individu qui n a aucune envie de vivre une rencontre réelle et qui souhaite jouer un personnage idéal.  Tapi dans l ombre de son ordinateur et de ses fantasmes plus ou moins avouables .Son but ?Au mieux, compenser certains malaises personnels à entrer en communication avec autrui, au pire, à force de patience et d un baratin à endormir la plus insomniaque des filles , se faire accepter avec ses problèmes et ses mensonges .
Mais il faut être mytho me direz vous pour agir comme cela ,?
Non.... parce que personne ne dit réellement la vérité sur lui- même dans un message écrit .L' intelligence filtre ce qui pourrait être mal perçu et valorise ce qui est reconnu comme quelque chose de séduisant.

Il sait tellement bien vous comprendre ....comment est-ce possible ?

A chaque fois que vous envoyez un message ,vous allez au-delà de vos mots ,de vos pensées premières ,votre esprit galope et vos sentiments s activent dans une virtualité qui vous dépasse .

Vous fabriquez des sentiments à partir de perceptions que vous avez imaginées et que vous n auriez sans doute pas eues dans la réalité .De tout ce contexte idyllique, vous devenez dépendante .

Quand votre petit ami virtuel avoue qu il n est pas tout à fait celui qu il prétendait être, vous lui pardonnez ce qui vous paraît être un petit mensonge au vu de toutes les gentillesses qu il vous a dites et qui vous font tant de bien .Vous êtes attirée par un escroc sentimental qui sait répondre à vos attentes en vous disant ce que vous avez envie d entendre .
Comment est -il si complice ? En lisant vos réponses attentivement .Il envoie un message avec des questions ou des remarques .Vous négligez de répondre à certaines et vous êtes intarissable sur d autres .

Conclusion :Vous venez de lui indiquer vos préférences .Il surenchérit et procède ainsi de suite jusqu'à vous donner l impression qu il sait vous deviner .Vous êtes sous son charme. Et beaucoup plus encore sous sa dépendance car il est l être qui va vous apporter ce que vous attendez de la vie .Le fait que physiquement ou psychologiquement ,il ne soit pas tout à fait ce qu il avait dit est franchement secondaire .....

Les amours virtuelles sont très perverses, Même si votre interlocuteur est honnête envers vous .Vous peinez à prendre conscience qu il ne s 'agit que de mots habilement alignes les uns derrières les autres et qui n ont que pour but de vous plaire .

Vous plaire, le maître mot.......pour que quelqu'un plaise vraiment à l autre, cela appartient bien souvent à l' intuition et à l' attirance quand chacun est en présence l'un de l' autre .
Les photos ne veulent rien dire de précis. Elles rendent franchement moche ou vraiment plus beau .

L'émotion intacte se trouve dans la réalité. La manipulation, plus ou moins innocente dont vous êtes victime dans l amour virtuel ne vous fait pas vivre un véritable amour .Bien sûr, l'ordinateur cache votre timidité mais il ne la guérit pas .Tout au contraire, vous installez celle-ci dans un confort qui ne lui donne pas envie de s'estomper, elle s'incruste et vous fait vivre dans un univers virtuel, qui vous éloigne de la profondeur du réel. Une rencontre virtuelle doit être un simple passage, une simple introduction l'amour concret. Mieux vaut vivre une relation difficile bien réelle ,qu'un délire virtuel trop pur pour être vrai !

(Merci pour ce long commentaire "anonyme", puisse-t-il un jour éclairer autre personne... Pour moi, il ne me reste que le temps pour guérir mon coeur.)

16 novembre 2010

Souvenir éternel... Dans mon cœur le miel se

Souvenir éternel...

Dans mon cœur le miel se répand !
Tu es boule d'amour aux fraîcheurs printanières
Et je te vois contenir la rivière de ton âme
Par crainte d'un débordement
Redoutant l'inondation
Qui livrerait son limon aux terres asséchées
Pour refaire vivre une partie de toi
Que tu avais cru devenu terre déserte
Et dont tu t'enchantes à voir germer la première pousse verte
Aussi verte que l'herbe qui vient après la rosée
Tu es surprise comme un enfant à Noël
Et presque confuse de recevoir ce cadeau de vie
Ton cœur grelotte et t'enthousiasme aussi
Tu ne sais que faire, étourdie par cette allégresse
Tu voudrais qu'elle dure tout aussi douce encore longtemps
Mais tu as peur de ne pas devoir et de ne pas pouvoir
Alors tu t'inquiètes, tu raisonnes, tu cherches en vain
Une idée, une porte de sortie, où au moins un sas de répit
Et puis, je suis toujours là, je persiste à ouvrir tes yeux
Comme d'autres ouvrent leurs volets le matin
Mes mots parlent de tes routes et de tes montagnes
Et tu comprends que le raisonnable est tout autant illusion
Que les meilleures idées que tu avais trouvé pour repères
Tu comprends qu'au fond de ton enveloppe réside ton essentiel
Et tu sais qu'il n'habite plus ton quotidien dans la constance
Tu sais qu'il te faudra de la force pour réouvrir ta porte
Aussi tu prends un peu de temps comme si tu reprenais
Ta respiration avant de te lancer à l'eau et nager
Tu as acquit l'acceptation de toi et compris que tu ne pourras plus
Te fuir, ou t'oublier comme tu l'as fait

Tu as senti que tu ne pouvais pas échapper au juste de ton dedans
Mais tu ne t'affoles plus, au contraire cela t'apaise
Comme par magie, tu commences à lever ton masque
Demain t'appartient et tu as bien l'intention de le faire tien
Tu aurais aimé que cela soit plus simple et moins turbulent
Tu souhaiterais le calme de la plénitude le sentiment doux
Parce que tu n'aimes pas la révolte qui assombri le regard
De ceux que tu aimes et que tu as aimé pleinement
Mais tu découvres que d'autres forces à l'intérieur de toi
Sont aussi impérieuses et quelles propulsent devant
On ne lutte pas contre soi indéfiniment
Tes heures de lumière s'approchent et t'entourent
Tu vas céder à la vie qui t'attend parce qu'il est impossible
De faire d'autres choix ; la vie est mouvement comme toujours
Et tu as fait le choix de te construire

Lorsque le corps parle plus fort que la raison
La gestuelle prend le pas sur l'incertitude.

Un ami... virtuel...

(2007)

16 novembre 2010

J’ai eu besoin de décompresser un peu, de méditer

J’ai eu besoin de décompresser un peu,  de méditer sur la bêtise humaine, parce ce que je le vis, un peu trop en ce moment, à mon goût...

Il y aurait tant à en dire sur cette bêtise qui rend aveugle certains par leurs idées préconçues, qui reflète le manque de conscience chez d’autres… Je me demande si cette connerie humaine, ne serait elle pas que de l’habitude ou de la peur… En regardant ce qui se passe autour de moi, c’est au moins la seule chose qui peut me donner une idée sur ce monde, tout en comprenant que ce qui pourrait être bêtes pour certains, peut être intéressant pour les autres. Même si au fond de moi, je pense, que cette bêtise, autour d’elle, détruit, maintenant ou plus tard, en oubliant souvent, que nous sommes tous, que de passage sur terre…  L’humain serait quand même plus heureux s’il mettrait son savoir à ne pas commettre de bêtises, plutôt qu’à en faire, c’est du moins, mon point de vu personnel, mais j’en viens malgré tout à me demander, après plusieurs lectures, si la bêtise humaine se soigne…  Dans un sens je pourrais dire que certains humains évoluent de temps en temps, en oubliant d’être cons car la connerie communique très bien.  Enfin mon ressenti, pour éviter la bêtise humaine, reste de respecter son prochain comme soi même. Pour les autres, à eux d’estimer ce qui pourrait être la bêtise ou pas !

Certains jours les larmes viennent, ce que je cache d'un coup tout se déchaîne, ces jours que je pourrais fuirent, sans qu’une petite goutte vienne tout faire déborder... Il y a des jours où il vaudrait mieux ne plus penser, des jours où je pourrais craquer juste pour un instant.  Des jours d’épuisement où les émotions se laisseraient emporter. Il y a des jours où tout est difficile, une pression trop forte, femme fragile je deviens... Il y a des jours.. 

2009

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16 novembre 2010

FIN

FIN2

FIN3

FIN4

16 novembre 2010

16 novembre 2010

Toi : Je ne sais pas de quoi tu parles. De toi,

Toi : Je ne sais pas de quoi tu parles. De toi, mais encore ?

De toi encore puis-je penser. Mais quelle importance, il est clair que ce qui t’anime est ce qui t’importe. Focaliser comme il se doit sur ce qui ne satisfait pas.

Je ne t’ai jamais laissé croire à une relation d’amour. Tu es la seule à vivre cela et à t’y embourber. Fais-toi plaisir, accuses-moi, si cela doit t'aider. Cela ne me dérange pas. Je pense toutefois que ton esprit est ambigu, flou et ici alambiqué. Tu as parfaitement le droit de te faire du bien. Te faut-il pour cela un putching-ball ? Je ne suis revenu vers toi que par respect et sollicitude. Voilà que tu m’en as ôté l’envie. Je regrette que tu en sois là. Tout comme je regrette de te lire et ne voir que des traumas dont je suis à t’en croire le coupable. D’ailleurs puisque tu fais mine de lucidité : quelqu’un t’a-t-il demandé de poursuivre ? De persister dans une relation où tu as due chaque fois mendier ma présence ? A trois reprises… t’en aurait-il fallu mille ?

Rappelle-toi que j’ai accepté chaque fois à l’encontre de moi-même. Relis bien. Tu trouveras certainement ces dialogues où je t’ai dit ok, mais sache qu’il n’y en aura sans doute plus d’autres. Ta mémoire vacille, jeune fille. Mais s’il te plait de croire ce que tu penses, alors continue. Ce n’est effectivement que toi que cela regarde. Mais c’est fort dommage tant il est vain.

Je suis désolé de toutes tes méprises. Car, je ne t’ai jamais triché. Tes interprétations encore une fois sont fallacieuses.

Mais, restons-en là.

Bonne continuation à toi.


Moi : Voilà bien la réponse d'une bonne "vierge" Aussi susceptible que moi (lol)

En effet, focaliser comme il se doit sur ce qui ne satisfait pas!

Tu as raison, le putching-ball je v me le commander à Noël et v coller ta photo dessus bonne thérapie  (mdr)

Pour ta devise, si je n'ai fais que "mendier" ta présence c'est que je croyais tous tes mots vrais

mais... Il ne faut pas croire en toi!!

.../...

Pour ces dial, où il n'y a plus d'autres rencontres, c'es pas faux puisqu'ils ont étaient prononcés pour la plupart, par toi face à face, tu te souviens "Il n'y a pas de raison de ne plus se retrouver..."
Comme notamment pour t'accompagner à New York "va savoir..."

Je n'ai pas à t'envoyer d'historique msn, mais jamais tu n'as mis une fin à l'élan que j'avais envers toi, mise à part quand tu plaisais à d'autres et que je t'étouffais te faisant remarquer que j'étais là........

De toutes façon, je n'ai plus rien à dire, il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veux pas voir.

Par respect et sollicitude pourquoi ne pas avoir mis à la négation; "J'apprécie tous ces mots doux que tu m'envoies, j'apprécie la douceur de tes lèvres".......
Par respect et sollicitude, étrangement, pourquoi avoir totalement changé quand tu as récupéré ton bien perso....

La seule connerie que j'ai faite et d'être tombée amoureuse d'une relation virtuelle, d'avoir crut en ses mots, d'avoir eu confiance en lui!

On a souvent tendance à voir l'autre tel que l'on est soi même.


Pour le reste, tu as ta version et moi la mienne.


Si tu es vraiment revenu par respect et sollicitude, tu vois ce respect que l'on ressent au plus profond de soi, alors tu dois savoir tourner la page et continuer à me tenir la main à être mon ami, non?


Douce semaine « X ».



Toi : "... jamais tu n'as mis une fin à l'élan que j'avais envers toi,..."


Voilà qui est fait.


Moi : "Voilà qui est fait."

Bouquet final, de tout ton respect à mon égard.



15 novembre 2010

15.11.2010 Bonsoir, toi ! Une entête « amicale »

15.11.2010

Bonsoir, toi !

Une entête « amicale » est plus jolie, non ?

Cette après midi je pensais fortement à toi, alors que j’ai décidé hier soir, par lassitude de ton indifférence verbale, de ne plus t’écrire…

Ma pensée étant sur mon dernier commentaire, non validé, qui ne répondait juste qu’à la chanson. Alors que d’autres com’s…. Enfin… sourire… Oui je sais, ce n’est que ton univers !

Quoi que, peut être aurais tu certain compte à rendre si tu validais mes com’s…..

Du moins c’est ce qui laisse à penser.

Tu as l'air de connaitre si bien quelques unes de tes admiratrices.

Là aussi, bien que je ne sais ce que demain sera fait, et profitant de l’occasion d’avoir une raison de t’écrire, tu me déçois notamment sur l’envie de te déposer un commentaire, je ne pense plus le faire puisque ainsi tu le désires. Dans l’attente de ne plus t’importuner de mes innombrables visites…. Ainsi tu sera heureux.

La première idée qui m’est venue, en lisant ton mail de ce soir, (bien heureuse quand même, je te l'avoue) est de ne pas te répondre.

Mais le silence de l’autre est si douloureux que je ne préfère pas l’infliger à mon tour.

Puis à quoi bon, je n’ai rien à te cacher.

Cependant, tu m’as donné l’envie de déposer un autre poème, puis d’autres suivront normalement, du moins jusqu’au moment où j’en aurais envie.

Si, à tes dires d’aujourd’hui, ils ne viennent plus te sensibiliser, moi je les aime et ils font chavirer le corps de certaines personnes alors pourquoi ne pas s’en priver.

Apporter une touche de rêve c’est la seule chose que je sais faire, semble –t-il….

Ces jour ci, je pense longuement à « nous », remarque, tu dois t’en douter.

Je me demande ce que m’a apporté ces 3 ans ?

(si tu as pris note de mes mails précédent, tu dois comprendre ce soir, ce « nous » et ces 3 ans…)

L’écriture ? J’écrivais avant toi….

Le jazz ? J’aimais avant toi…

Un brin de philo ? Peut être, mais bon….

La lecture ? Je lisais beaucoup aussi, avant….

Connaître la valeur du temps, de la patience, de l’attente ? Bien vu. Il n’y a que les larmes qui font grandir…

Me connaître mieux ? Tu y a contribué certes. L’amour le veut ainsi.

En résumé ? On dit, que l’on possède toujours la réponse au fond de soi….

Et l’une de tes pensées de ce soir m’y invite généreusement, malheureusement….

« croire en moi est une erreur. ».

Oui… J’ai eu foi en toi. A tes mots différents d’un  jour d’une semaine d’un mois à un autre…. Tu savais si bien rattraper la donne pourtant…

jusqu’au jour où plus rien de toi, et j’en arrive là aujourd’hui avec ton aide...

Si croire en toi est une erreur, où se trouvait la vérité ? Il y en avait elle une, au moins…. Je n’aurais jamais du te faire confiance, si….

Mais ici, il n’y a pas de « si » à présent….

Je prends maintenant note de ton mail de ce soir.

Pourquoi, non !?

Je te fais remarqué que je ne réagis pas ainsi à certains de tes écrits…

Je t’ai juste demandé si tu aimais mon nouveau blog… ( en message différé sur msn, tiens donc, tu les reçois à présent…).

Je n’ai nullement fait allusion à toi personnellement.

Il est vrai qu’ils ont étaient écrits pour toi de par le passé mais, les laisser dormir alors qu’ils sont si jolis, aimant, c’est idiot, non ?

N’empêche, entre nous, ils sont ressentis quand même…( :

Ps : « Contacter l’auteur » a été une bonne idée….

Pour ton : « …tu as semble-t-il, confondu amitié amoureuse et amour passionnel. » Je te répond ; L’amour ce désastre… Indispensable !

Je t’ai aimé tout court, depuis le début je ne te l’ai jamais caché. Comme je ne t’ai jamais caché tous ces poèmes écrits pour toi et envoyé personnellement dans ta bal.

Qu’as tu fais de moi pendant ces trois ans… N’ai je été qu’une simple erreur à tes yeux…

N’ai je été qu’une roue de secours jusqu’au jour où tu n’as plus eu besoin de moi…

Tu vois l’erreur en croyant en toi !!

Tel que je te connais, tu vas me dire, voir penser si tu ne vas pas plus loin que ce mail de ce soir, « Interprète cela comme tu veux… »

Pour mes attitudes exagérées, comme tu le dis, j’en ai beaucoup souffert. Mais une chose est sur, me faire vivre « l’indifférence » me fait mal réagir. J'ai été marqué au faire chaud avec l'indifférence depuis de nombreuses années.

Dans « amitié amoureuse », voir l’amie que tu voulais que je sois pour toi, as tu chercher à me comprendre ? Non, tu le sais très bien. Pourtant, est es ce sort qu’on réserve à une amie ?

Quoi que, amitié amoureuse, tu as mis le temps quand même à l’admettre, me souvenant de conversations msn où je n’avais aucun titre à tes yeux…. Juste tu m’aimais bien et moi je t’aimais. Tu l’as sut, tu l’as sut très vite.

Ces jours ci, je pensais, voir j’ai espéré, que l’on efface tout et que nous redevenons de réels amis avant de savoir, ne pas croire en toi….

A publier ces poèmes cela ne me rend désemparée, bien au contraire, j’en ai une certaine satisfaction mais ce soir, à la lecture de tes mots que je relève ici, ça fait mal quand même…

Je n’aurais jamais pensé cela de toi tu le sais, même si une toute petite voix intérieure m’ouvrait à quelques vérités, comme souvent je te souligne, je ne voulais pas y croire.

Non, décidément non, je ne t’imaginais pas du tout ainsi.

En fait, si je songe à ne pas croire en toi, tu n’as fait que de te servir de moi, je meublais tes soirées msn quand tu en avais envie, tu me jouais du violon quand je lâchais prise. Je ne t’ai apporté qu’un plaisir sexuel « sans protection, à ta demande », alors que sois disant tu ne savais pas faire l’amour sans sentiment….

Tu sais que mes mots je ne les invente pas, puisqu’ils sont les mêmes depuis trois ans, eux.

Et pour finir, j’ai été la bonne poire pour te faire parvenir ton médicament de rêve.

Voilà. Voilà, à ne pas croire en toi…. Je t’écris tel que je pense.

Sais tu au moins ce que je peux ressentir à ce moment précis ?

T’en donnerais tu la peine….

Puisses tu te consoler, je t’ai vraiment aimé, comme toi ou tu sembles n'avoir rien à faire de moi.

Si c’est pour continuer de me mentir, non aime moi jamais "..."!

Oui, j’ai été une amie douce, maniable, patiente… Une « chose » pour ainsi dire à tes yeux, puisque c’est ainsi que tu définis l’amitié. Je me souviens, «  une amitié avec quelques plaisirs en plus juste, à tes dires… »

Oui, le reste, je le sais aussi bien que toi, j’ai mes erreurs et tout à cesser. Aller chercher du sexe ailleurs à la longue, tout en me faisant patienter, tu n’as pas apprécié que je sache.

N’enrage pas pour moi, ça ne servira strictement à rien à moins que tu te trouves coupable de ne pas avoir été totalement franc avec moi pendant ces trois ans.

Cependant je me permet de te reprendre, tu ne m’as jamais soutenu à ne pas croire en toi !!!

On n’en serait pas là aujourd’hui.

Quand à ce nœud affectif ; Sache qu’il n’engendre aucune misère, comme tu le dis.

Aimer et rester vrai apporte des richesses qui n’ont aucun prix.

« Pour jouer encore, il aurait sans doute fallu, une règle du jeu plus claire. »

Pour jouer encore, il aurait sans doute fallu, une règle du jeu avec des vraies  valeurs.

Avant de dire, « on ne se comprendra jamais », quand on estime une personne on cherche avant tout à la comprendre sans la juger d’office.

A toi à présent de continuer de survoler ce blog de magie comme tu en as envie, cela te permettra de te rappeler réellement tout ce que j’ai écris en pensant que tu ne m’aimais pas… Puis aimant t'y retrouver, c'est peut être la seule chose de réussie que tu feras pour moi, en souvenir de "notre" relation....

A toi de répondre à ce mail si tu le désires ou de tourner la page silencieusement et avec indifférence comme tu sais si bien faire. Comme je t’ai dis il y a quelques mois, je veux regarder devant après avoir compris.

Quand à ce que je ressens pour toi à ce jour, cela ne regarde que moi.

Comme cela a été pendant trois ans d’ailleurs. A ce que je sache je ne t’ai jamais ennuyé face à face…

Bonne continuation à bientôt,

peut être.

.../...

2h passée du mat, re.... Je viens de terminer ma lecture, bah tant pis pour les fautes, pas le courage de réfléchir. Je ne sais pas si ça m'ennuie, mais je remarque encore beaucoup d'affection dans ce mail..... pfff, pas juste -sourire-

T'as de la chance quand même...

Enfin, peut être qu'un jour, songes tu, je deviendrais son ami quand elle ne m'aimera plus, ainsi.

Mwé c'est pas encore demain que je vais cesser d'aller te lire j'ai l'impression!

Pourquoi tu ne me parles pas de temps en temps, pourquoi je ne te vois plus en ligne.... Oui, tu es là, comme un jour tu m'as dis, je le vois! soupir. je le trouve bien mon com de ce soir, bah pas aussi bien tourné que tes fidèles, et les mots à quoi bon, a quoi servent ils en fait, à rien, en fait le virtuel n'est rien, et toi tu me diras, nous ne sommes rien..... es tu qu'un simple souvenir, my ange? ou moi, le suis je à tes yeux... C'est vrai, les règles du jeu aurait du être différente, le titre aurait été "faire l'amour sans amour" comme les animaux.... Tu aurais su, toi? sourire.... De mes 45 ans, j'espère ne jamais à avoir connaitre cela!

Tu vois, malgré tout, je ne regrette rien.

Allez je dois te laisser):

Tendrement....

13 novembre 2010

13.11.2010 Je suis lasse ce soir, hier aussi...

13.11.2010

Je suis lasse ce soir, hier aussi... et demain....

J'ai décidé de ne plus t'écrire de mails,

de tout garder pour moi.

Je crains d'ouvrir les yeux sur, à quoi ressemblait "notre" histoire.....

Il est vrai, comme partout, qu'il y a deux versions dans chaque situation,

mais avec toi et ici, je n'ai rien caché, mis à part les noms et ce qui pouvait toucher au personnel.

J'aurais aimé comprendre, peut être avoir des avis extérieur ou autres, mais à quoi bon, il faut avoir passé réellement dans une situation pour la comprendre.

Je ne t'ai jamais menti quand je  t'ouvrais mon coeur. Je n'aime pas l'indifférence.

Je souffre de ton indifférence.... de toutes formes de ton indifférence....

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